Mas oyama KYOKUSHINKAI

Maître Matsui Kyokushinkai (IKO1)

Maître Midori Shinkyokushin (IKO2)

Maître Matsushima Kyokushin (IKO3)

Maître Tezuka Kyokushin (IKO4)

Maître Royama Kyokushinkan (IKO5)

Maître Ishii Seidokaikan et ( K1 )

Maître Kurosawa Kurosawa Ryu

Maître Shishinohe Shishinohe Ryu

Maître Nakamura Seido juku

Maître Sato Sato Juku

Nicholas Pettas Nicholas Pettas Dojo

Steve Arneil IFK

Jon Bluming Kyokushin Budokai

Alain Setrouk Kyokushin eskrima Philippine

 

Maître Ninomiya Menshinkaikan

Maître Soeno Shidokan

Maître Sugihara Byakerenkai

Maître Azuma Daido Juku

Maître Ashihara Ashihara ( NIKO )

Maître Kurosaki Shin Kakuto Jutsu

Hajime Kazumi Kazumi Ryu

Kenji Yamaki Yamaki Ryu ( USA )

Maître Oyama World Oyama

 

le chakuriki est une évolution du "charyuk" système d'entraînement et de préparation physique et mentale autrefois développé par les guerriers des royaumes coréens de la dynastie yi(1392-1910).dont le premier principe est d'utiliser à son profit l'énergie de l'adversaire.

 

 

Le Xing yi quan , art martial, apparue au 17éme siècle, est célèbre dans le Nord de la Chine tant pour sa simplicité que pour l'efficacité de ses techniques. C'est pourquoi, nombre d'escorteurs de caravanes, à l'époque où les chemins et les routes étaient peu sûrs, en firent leur arme de prédilection.

Mobilité, nombre limité et sobriété des formes, puissance des mouvements caractérisent ce style.

On en attribue la paternité à Ji Longfeng (Ji Jike), un boxeur du Shanxi, spécialiste de la lance. L'école de Shanxi s'est scindée en deux pour donner l'école de Henan et l'école de Hebei. Cette dernière est la plus répandue grâce à Li Luoneng (1808-1890). A noter que Guo Yunshen fut un des meilleurs disciples de Li.

La pratique comporte essentiellement cinq formes de coups de poings mis en relation avec les cinq éléments (wuxing) et douze figures animales (on recherche les qualités intrinsèques des animaux) : le dragon, le cheval, le phénix, l'épervier, le tigre, le lézard d'eau, l'hirondelle, l'aigle, le singe, le coq, le serpent et l'ours.

On cherche à découvrir l'intention (yi) de l'animal plutôt qu'à l'imiter physiquement.

Ce qui caractérise le xing yi est le travail des postures (xing) avec une intention particulière (yi), l'entraînement est linéaire avec une explosivité finale courte qui utilise la globalité du corps (zheng ti).

En 1409, le roi Sho Hashi unifie les territoires d’Okinawa et interdit la possession et l’usage des armes par crainte des révoltes populaires. Deux cents ans plus tard, soit en 1609, après l'invasion de l'ile par le clan Satsuma, les armes sont encore confisquées par le nouveau gouvernement, japonais cette fois. Cette interdiction contraint les habitants à développer un mode de combat afin de pouvoir repousser les envahisseurs à mains nues.

Pour ces raisons, les habitants d’Okinawa ont adapté les méthodes de combat chinoises reprises sous le nom de Okinawa-Te, (nom donné au "Tō-de" à partir de la 2ème moitié du 19ème siècle, en réaction à la domination japonaise) en développant des techniques de combat à mains nues (sans armes). Te signifiant « main », Okinawa-Te signifiait donc les techniques de combat à mains nues d’Okinawa.

 

Dès 1392, dans l'île d'Okinawa, une colonie chinoise résidait dans le village de Kumé où était pratiqué l'art du combat chinois. Cet art, pratiqué secrètement, constituait un des privilèges de ces familles chinoises, originaires principalement du Sud de la Chine, qui entretenaient régulièrement des contacts avec la délégation de l'empereur de Chine qu'elles étaient chargées d'accueillir. A partir du 19ème siècle, l'art du combat secret des chinois de Kumé a commencé peu à peu à être diffusé au dehors sous le nom de Naha-te (te = main, technique) car ce village dépendait de la ville de Naha. A cette époque, en plus du Naha-te, d'autres styles existaient à Okinawa : Shuri-te qui s'était développé dans la région de Shuri et Tomari-te qui provenait du village de Tomari. Tous ces styles étaient désignés sous le terme générique okinawaien de To-de (technique chinoise) dont la prononciation japonaise est : "KARA-TE". Le vocable Okinawa-te (ou tout simplement "te") était parfois utilisé à la place de To-de.Style goju-ryu (style de karaté basé sur des mouvements circulaires)

Importées en Chine vers le VIème siècle de notre ère, vraisemblablement par le moine Bodhidharma, ces techniques se développèrent au sein du monastère du Shaolin-Tsu.

Leur diffusion, dépouillée du contexte religieux, vint enrichir progressivement l'art du poing chinois. Cette boxe connue depuis la plus haute antiquité, comprenait de nombreux styles différents. Au fur et à mesure des siècles, les apports extérieurs vinrent influencer le développement de ces méthodes anciennes.
On a l'habitude de fixer les origines du karaté à Okinawa, principale île de l'archipel des Ryu-Kyu, prolongement de la péninsule nippone vers le sud.
Occupée par les chinois, elle se vit interdire par décret, en 1429, le port des armes, ce qui favorisa le développement des anciennes méthodes locales de combat.
Avec l'apport du kempo chinois, dont la connaissance était favorisée par l'importance croissante des voyages, ces méthodes regroupées sous le nom d'Okinawa-te ou Tode continuèrent de se développer. Progressivement, trois styles aux caractéristiques bien précises, Shuri-te, Naha-te ou Tomari-te, du nom des lieux où ils étaient pratiqués émergèrent.
En 1609, l'invasion japonaise favorisa l'orientation vers une pratique dure dans un but guerrier et la transmission de ces arts devint secrète. A l'entraînement à mains nues, les habitants d'Okinawa ajoutèrent l'usage martial des instruments de travail, ce qui deviendra par la suite le Kobudo. Ainsi par exemple, le fléau à riz donnera le célèbre Nunchaku.
Shotokan (style de karaté basé sur des mouvements linéaires).
A la fin du XIXème siècle, ère des grandes réformes du Japon, l'île d'Okinawa devint province Japonaise. Peu après, l'enseignement de l'Okinawa-te devint autorisé à l'école.
Mais il faudra attendre 1922 et le voyage de Shomen Gishin Funakoshi, un des grands maîtres d'Okinawa, pour que cette méthode de combat se fasse connaître au Japon. Devant le succès de ses démonstrations, il s'installe à Tokyo pour y enseigner son art

En observant les branches chargées de neige et voyant les plus grosses casser sous le poids de l’agresseur naturel et les plus souples s’en débarrasser en pliant, un moine japonais fit le constat suivant : le souple peut vaincre le fort.
S’inspirant de cette observation et des techniques de combat des samouraïs, Jigoro Kano posa en 1882 les principes fondateurs d’une nouvelle discipline : le Judo, littéralement « voie de la souplesse ».
Fondé par Master Sawaï Kenichi,
le Taiki-ken, « Boxe de la Grande Energie »,
fusion des traditions chinoise et japonaise,
offre une vision globale et réaliste du combat.
Axé sur le renforcement de l'énergie vitale
et la maîtrise des principes du Budo et du Zen,
Le Taiki-ken est un art martial interne, libre et naturel.
Au 16ème siècle, la Boxe thaïlandaise faisait partie intégrante de l’entraînement militaire; à l’époque cette technique de combat permis aux soldats thaïlandais de repousser les Birmans.
Elle atteignit son plus haut degré de popularité au 18 ème siècle, sous le règne du roi Pra Chao Sua, qui était connu par sa férocité en tant que combattant et boxeur de première force. Poussé par le désir du sport et sa soif de challenge, il voyageait incognito à travers son royaume pour défier n’importe quel boxeur et imposait l’entraînement de la Boxe Thaï à son armée. La Boxe Thaï devint rapidement le passe temps favori du peuple thaïlandais.
La boxe thaïlandaise est un sport de combat très complet. Pour son efficacité, elle est enseignée au corps de police et à l'armée. Tous les coups de poings, de pieds, de genoux et de coudes, sont permis à tous les niveaux du corps, sauf dans les parties génitales, la pomme d’adam et la nuque. En plus de ces techniques, les saisies, projections et le corps à corps sont autorisés. Les armes les plus redoutables de la Boxe Thai sont les coudes et les coups de pieds, donnés avec le tibia qui permettent au combattant de détruire les appuis de son adversaire en le frappant dans les jambes. En Boxe Thaï, il n'y a pas de frappe au sol, par simple respect pour son adversaire qui, se trouvant à terre est dans une position d'infériorité.
K-1 est un sport de combat (1993 à de nos jours) qui rassemble des combattants poids lourd qui pratiquent des siècles de tradition d' arts martiaux tels que le karaté kyokushin, le muay thai,le kung fu, le tae kwon do et kickboxing (le "K") dans un sport spectaculaire complètement moderne et électrifiant, pour déterminer le meilleur des meilleurs combattant dans le monde (le "1"). Les tournois K-1 permettent à des combattants de nombreuses disciplines différentes de se concurrencer, et les valeurs donner au événements K-1 a fait de ce spectacle un véritable régal pour les spectateurs. Depuis son introduction en 1993 sous la direction du maître Kazuyoshi Ishii, le K-1 est devenu un des sports croissant dans le monde
Après avoir créé son propre style de combat, Kenji Kurosaki met en place un célèbre camp d’entraînement, en 1969, le Méjiro-Gym de Tokyo. Ce dernier deviend le pionner du Kick-boxing des années 1970. Il eut pour élèves des pratiquants renommés comme Akio Fujihira, Toshio Tabata, Yoshiji Soéno, le Français Patrick Brizon, le Hollandais Jan Plas (célèbre entraîneur hollandais) et le brillant Toshio Fujiwara (légende du kick-boxing japonais, avec ses 129 victoires). Durant les premières années, les kick-boxeurs japonais venaient directement du karaté kyokushinkai.

Ce style a été créé en Janvier 1972 par Thom Harinck

Chakuriki ! Le plus célèbre club de boxe Thaï du monde. Le lieu d'où émergèrent des douzaines de champions d'Europe et du Monde de Muay Thai et de Kick Boxing. Branko Sikatich, Peter Aerts, Gilbert Ballentine et bien d'autres. Un système
universel, créé par Tom Harinck, réunissant le meilleur de ce qu'il y a partout dans le monde pour créer une recette gagnante. La recette qui marche sans discussion possible, depuis plus de 30 ans. Tom Harinck fondateur de la MTBN
(Association Hollandaise de Muay Thai) en 1983, de l'EMTA (AssociationEuropéenne de Muay Thai) en 1984. 6ème dan de Karaté Kyokushin, 7ème dan de Campo… Le premier Hollandais à avoir combattu avec son équipe à Bangkok au Lumpini Stadium. Tom Harinck eut même un impact sur la "mode" de ce sport. Ses garçons furent les premiers à combattre en shorts rouge satin (les shorts devinrent la tenue officielle du Kick Boxing).

jiu-jitsu, regroupe des techniques de combat qui furent développées durant l'ère féodale du Japon pour se défendre lorsque
l'on est désarmé. Ces techniques sont parfois classées en trois catégories principales : atemi waza (technique de frappe),
nage waza (technique de projection) et katame waza (technique de contrôle) afin de maîtriser un adversaire.